Depuis l’enfance on chante on danse
On parle trop pour meubler le silence
En sachant bien que derrière
Les apparences les manières
Une autre vie existe qui nous espère
Il y a des choses sacrées tout un univers qui parait négligé
Une sagesse tutélaires un genre d’évocation plénière
Un souvenir qui nous poursuit obsession singulière
Alors on ouvre les paupières
Alors on ferme la lumière
Et dans le noir c’est l’évidence qui nous éclaire
Un rire fort sous les sanglots
Une émotion qui nous tient chaud
Comme dans un roman de Paulo Coelho
Il y a des mots clairs et précis
Sous le vernis de ce que l’on dit
C’est la caverne de Platon
Dans le silence la révélation
Un monde ancien mystérieux de tradition
Regardons-nous dans le miroir
L’amour est bien le seul pouvoir
Il garde nos images en mémoire
Nos espoirs
Alors on ferme les paupières
Alors on s’ouvre à la lumière
Et dans le noir c’est l’évidence qui nous éclaire
Un rire sort sans les sanglots
Une émotion qui nous tient chaud
Comme dans un roman de Paulo Coelho
Comme dans les livres et le bon vin qui nous enivre
Toutes ces fables qu’on se raconte pour vivre
Elles se résument en quelques mots
L’habilité d’aller plus haut
Que notre personnalité ou notre égo
Alors on ferme les paupières
Alors on s’ouvre à la lumière
Et dans le noir c’est l’évidence qui nous éclaire
Un rire fort sans les sanglots
Une émotion qui nous tient chaud
Comme dans une roman de Paulo Coelho
Basse : Petteri Parviainen
Batterie : François Causse
Claviers : Slim Batteux
Guitares : Gérard Pansanel
Harmonica : Stan